Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 17:51

shame-.jpg

 

New-York, de l'argent, un appartement cosy (certes, on s'attend à y voir Hal de "2001 Odyssée de l'espace"). Et dans de sales draps, Brandon. Brandon, un mec vide, une entité composée de chair et de sang, mais rongée par une addiction. Dans la tête de ce (non) héros, une seule et même idée : sexe, baise, masturbation. Brandon ne s'aime visiblement pas, mais il n'y peut rien. Ce mensonge, à lui-même mais aussi au monde extérieur (il donne bien le change dans le monde extérieur, mais quelque peu aseptisé et déconnecté que semble être son job, visiblement dans la finance), il en souffre. Mais c'est aussi un pilier, un fidèle ami, pour celui qui n'a rien d'autre à se rattraper. Pas de petite amie, pas de famille, pas de vrais amis : la vie de Brandon est blanche et clean comme son appartement, sordide comme ses séances de masturbation compulsive, en tête-à-tête avec lui-même, quand il ne fait pas venir une prostituée pour un "service" à domicile. Puis un jour, tout vacille : voilà la soeur, Sissy, paumée dans son coeur et sa tête, qui débarque. Plus ou moins à l'improviste : de toute façon, Brandon s'en fout pas mal.

 

Tout ça est bien triste, et tous les personnages portent en eux des espèces de gouffres affectifs béants, un mal-être que tout tout exorcisme onaniste ne peut évacuer. Rien n'est stable chez Brandon et Sissy, le frère et a soeur forment une barque à la dérive et dont on suit l'inexorable éloignement de tout. Etranger au sentiment amoureux, Brandon se consume et ne peut apporter de soutien à sa soeur perdue dans les méandres de ses aspirations et espoirs un brin pathétiques. 

 

Il fallait avoir une certaine maîtrise pour rendre le climat en images et en son. A la réalisation, Steve McQueen esthétise la pathologie de Brandon et la fragilité de Sissy avec une évidence remarquable. Après "Hunger", le cinéaste bénéficie d'un "beau" sujet, qu'il traite avec une froideur presque clinique, qui rentre ainsi en résonnance avec le vide qui habite les protagonistes. Peu d'esbrouffe donc, mais il y a un sens du détail, du décor qui est admirable : ciel gris qui contraste avec des lieux parfois spectaculaires (l'hôtel où les chambres ne sont que des grandes baies vitrées), lumières tamisées partout sauf dans l'appartement glacial de Brandon, tout semble étouffer les êtres (les bureaux sont plongés dans une quasi-pénombre !), et enfin une maîtrise de la chromie remarquable (le plan-séquence du footing de Brandon est somptueux). Mais le plus important est sans doute l'incroyable présence des deux acteurs.

 

Michael Fassbender habite littéralement son personnage, tout en violence envers soi-même contenue, prêt à dégoupiller, mais incapable de renouer avec la réalité. Il a cette façon présente, physique d'être à l'écran, à faire passer un état d'esprit en un mouvement imperceptible, une simple inflexion de la voix ou un regard qui se fait plus acéré. Quant à Carey Mulligan, elle personnifie la fragilité, avec une voix traînante, un teint de porcelaine et un jeu qui laisse transparaître un avenir brillant à cette jeune Anglaise.

 

On peut néanmoins regretter un petit twist scénaristique un brin malvenu à la fin, mais il n'empêche que "Shame" est une mise en scène cruelle et réaliste d'un homme (d'une société ?) à la dérive. Il installe ses protagonistes (acteurs et réalisateurs) comme des valeurs sûres du cinéma d'auteur.

 

Shame, un film de Steve McQueen

Avec Michael Fassbender et Carey Mulligan

 

 

 

Partager cet article
Repost0
20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 15:01

L'association Renaissance des Cités d'Europe organisait la semaine dernière une visite du chantier du futur auditorium de la ville de Bordeaux. Vous savez, là où vous alliez au cinéma il y a de cela une dizaine d'années ? Le Gaumont, tout ça. C'était bien, il y avait plein de bons films, et la place ne coûtait pas encore un demi-bras. Mais vous avez grandi. Vous avez mûri. Le soir, fini le cinéma (non, je ne vous le souhaite pas, revenez !). Vous allez... écouter de l'opéra. Comme Bruce Wayne. Et si vous ne le faites pas encore... vous le ferez sûrement.

 

A vrai dire, l'association qui a organisé la visite (et que je remercie pour m'avoir permis d'être présent) a réussi son coup en faisant venir l'architecte responsable de l'ouvrage. Il s'agit de l'architecte Michel Pétuaud-Létang, volubile et excentrique personnage, qui a amplement décrit son oeuvre, de sa genèse aux futures finitions. Le point de départ est aussi un coup de poker, celui d'aller trouver Alain Juppé (déjà maire de Bordeaux) et d'aller lui proposer, au culot, de construire un auditorium en plein coeur de la ville. En plus de cela, l'architecte propose au maire un montage financier qui épargne un coût insurmontable pour la collectivité. Là où les autres projets similaires s'engluent dans la crise et des coûts qui s'envolent (Hambourg a comme projet, à l'arrêt, une salle similaire pour 220 millions d'euros), le projet bordelais, porté par Michel Pétuaud-Létang ainsi que Michel Ohayon (de la société Finance Immobilière Bordeaux, homme d'affaire et promoteur local), ne devrait pas excéder les 26 millions d'euros.

 

Auditorium1.jpg

 

Le chantier devrait être terminé pour juin, et le début de la programmation pour le début 2013. Lors de la visite, il était difficile d'imaginer que ces délais puissent être tenus (le chantier affiche déjà quatre ans de retard sur la date prévue, en partie dus à des fouilles archéologiques, aux découvertes remarquables), mais il a fallu soulever tellement de montagnes pour l'architecte et tous ceux qui travaillent à l'ouvrage que ce n'est sans doute pas le plus dur. Fortement inséré dans le paysage urbain, dans un îlot où cohabitent différents propriétaires et bien des activités (commerces, restaurants, habitations, professions libérales...), le chantier est longtemps demeuré une énigme vu de l'extérieur. Mais sitôt que l'on entre, c'est le grand spectacle !

 

Auditorium2.jpg

 

Immense, et finalement à taille humaine, le chantier - et par extension le futur lieu - témoigne des immenses contraintes qu'il a fallu contourner (de son, d'espace, de commodités, de sécurité) et des solutions parfois très innovantes qu'il a fallu apporter. Il faut noter qu'au-dessus de la salle, il y aura 28 appartements (tous vendus), et un parking sur sept niveaux en-dessous. Pour répondre aux normes de confort que se doit d'afficher un tel équipement, il a fallu ruser, réutiliser ce qui a déjà été fait, parfois dans d'autres contextes (les appartements seront par exemple sur ressorts !). La visite a permis de toucher du doigt cet univers où des architectes se creusent la tête pour relever des défis, et travaillent la main dans la main avec des acousticiens (ici, c'est Eckhard Khale, acousticien belge de renom qui a oeuvré à Lucerne par exemple, qui a été retenu) pour offrir aux spectateurs une expérience unique. La créativité et l'inventivité mises à l'oeuvre pour mener le projet à bien ne font pas perdre de vue que c'est avant tout un outil formidable pour les musiciens et spectateurs (qui pourront être 1400). Tout l'ONBA (Orchestre National de Bordeaux Aquitaine) pourra être réuni, répéter et se produire dans un écrin pensé pour la musique, avant tout classique mais aussi pour d'autres styles (via quelques ajustements pour satisfaire aux contraintes de réverbération du son). Une autre salle de 300 places, deux salles complémentaires et des salles de répétition complèteront l'édifice, qui par ricochets, permettra à l'agglomération bordelaise de récupérer deux salles (le palais des Sports, qui reviendra aux sports collectifs en 2014, et la salle Vauban, où répétaient les musiciens et qui revient aux danseurs.).

 

La visite se termine par une vision de la salle principale, encore à un état nu, mais le but de la visite est pleinement atteint : j'ai envie d'y être, envie de découvrir également une musique que je ne connais que peu, envie de découvrir le lieu. Patience, encore quelques mois à tenir !

Partager cet article
Repost0
6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 15:29

Le réalisateur Nanni Moretti s'est attaqué à un sujet fort pour son dernier film. L'histoire prend en effet place au Vatican, à la mort d'un pape. Se pose alors la cruciale question de son remplacement, pour lequel on ne peut pas dire que les candidats se battent... Finalement, un élu est désigné : ce n'était visiblement pas le favori des bookmakers (vous ne saviez pas que l'on pouvait parier sur ce genre de choses ? Moi non plus...

 

Toujours est-il que c'est le cardinal Melville qui est choisi. Et ça ne l'enchante guère, tant et si bien que le néo-pape refuse d'aller se montrer à la fenêtre du Vatican devant les fidèles qui se massent. Il faut faire quelque chose : un psychologue est détaché au Vatican pour sonder les motivations du refus.

 

Et Nanni Moretti (par ailleurs extrêmement convaincant en psychologue) construit le film en deux couleurs, qui se marient fort bien par ailleurs. D'un côté, il y a l'institution, le Vatican mais au-delà l'Eglise Catholique, qui vacille, et dont les membres, pour dédiés à Dieu qu'ils sont, n'en restent pas moins humains. Alors, on complote, on esquive, mais on a aussi peur des responsabilités, effrayantes, de représenter une figure si importante. Alors, quand le cardinal Melville fuit, c'est le branle-bas de combat, mais tout le monde s'applique à esquiver le problème.

 

Mais le fuyard, lui, n'a de cesse d'osciller : la peur de décevoir, la peur de ne pas servir à sa hauteur le Seigneur, le regard sur sa vie passée et future sont autant d'éléments qui torturent notre cardinal. Et soyons francs : Michel Piccoli traduit mieux que personne les tourments qui habitent cet homme, qui ne sait plus s'il a fait assez, s'il peut faire plus, s'il le fait bien. Cette introspection peut trouver un écho en chacun : on parle d'un homme avant tout, avec ses forces et ses faiblesses. Nanni Moretti capte avec beaucoup de tendresse et d'humanité le cheminement de cet homme, bien décidé à être lui avant toute autre chose. On ressort alors du film avec une petite forme de mélancolie, mais aussi un peu de vague à l'âme et d'optimisme : le ressort qui est en nous ne demande qu'à fonctionner.

 

Un film de Nanni Moretti, avec Michel Piccoli

 

http://www.cinemovies.fr/images/data/affiches/2011/habemus-papam-21213-2076412022.jpg

Partager cet article
Repost0
2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 13:08

Les DVD font partie des produits culturels les plus populaires. Ils ont envahi les rayons des supermarchés et des magasins de loisirs et le taux d'équipement chez les ménages est très élevé. Du coup, les promotions de DVD, mais aussi l'occasion et la revente entre particuliers se multiplient. Voilà quelques astuces pour bénéficier des meilleurs prix.

Profiter des promotions

Les magasins traditionnels (Fnac, Virgin Megastore) comme en ligne (Amazon, Alapage) ne lésinent pas sur les promotions pour attirer les consommateurs. Les offres consistent à faire baisser le prix à l'unité en faisant acheter aux clients des lots de DVD qu'ils choisissent dans un vaste catalogue. Parfois, les films sont proposés par thématique, parfois ce sont des nouveautés qui sont inscrites dans la promotion.

Les grandes enseignes comme Auchan ou Carrefour ont des périodes plus favorables pour proposer les DVD pas chers : soldes, période de Noël, mais maintenant les magasins font des prix tout au long de l'année.

L'occasion se développe

La consommation de DVD étant élevée, le marché de l'occasion se développe grandement. Les ventes en ligne ont multiplié les opportunités et les magasins du type dépôt-vente (tels Easy Cash ou le Troc de l'île) sont, eux aussi, remplis de DVD, qu'ils proposent dans des offres groupées parfois très avantageuses, faisant baisser les prix jusqu'à un ou deux euros l'unité.

Les vide-greniers voient aussi parfois les gens se séparer de leurs films ou séries déjà vus et il y a de bonnes affaires à glaner, à condition de faire partie des premiers sur les lieux. Cela peut d'ailleurs être une bonne occasion de faire d'autres bonnes affaires : CD pas chers, livres bradés...

La vente entre particuliers

La vente sur le net s'est grandement simplifiée grâce à quelques sites très populaires (comme Priceminister) qui ont rendu accessible et immédiate la revente sécurisée des biens, qu'ils soient culturels ou même plus importants. Et les DVD sont très présents sur ce genre de sites et les prix descendent grâce à la concurrence féroce entre les vendeurs. Il n'est pas rare de voir certains films très revendus, comme "Bienvenue chez les Ch'tis", descendre à 0.90€.

Et comme les frais de port diminuent avec le nombre d'articles commandés, il est intéressant de réaliser de vraies économies en achetant plusieurs DVD au même vendeur. Certains se spécialisent dans un genre de film et grâce au système d'alerte, il est possible de surveiller le prix pour bénéficier du tarif le plus intéressant. (Prix constatés en septembre 2011).

DVD collection
Partager cet article
Repost0
2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 09:00

Bose est l'une des références qui comptent dans le domaine de la hi-fi. Leurs produits conviennent à ceux qui sont à la recherche d'un son riche et de qualité, qu'ils soient professionnels ou simples particuliers. Nous allons nous pencher plus particulièrement sur la gamme Bose Pro, dédiée comme son nom l'indique à une sonorisation à visée professionnelle.

Les produits proposés par Bose

Les raisons de choisir une sonorisation Bose sont nombreuses. Mais obtenir un meilleur son et bénéficier d'enceintes de qualité sont des choses appréciables.

L'un des fers de lance de la marque dans le domaine des enceintes est le système RoomMatch, qui permet de sonoriser toute pièce, indépendamment de sa taille, de sa forme ou de son acoustique.

Imposantes, mais disponibles en plusieurs tailles, elles se fixent soit au plafond soit au sol, et elles restituent un son qui n'a rien à envier aux systèmes qu'on voit dans les bonnes salles de concert.

Mais le panel des enceintes est riche chez Bose : des plus imposantes aux plus modestes, il y a de quoi trouver tout produit adapté à ses besoins. Un modèle qui peut être très utile est le Sono Bose L1, une simple colonne fine au son spectaculaire (son prix : entre 999€ et 2199€, selon la configuration retenue).

Le fabricant conçoit également des amplis, afin de créer une chaîne de matériels audio 100% Bose. Vous pouvez opter pour le Packlite (399€), pour l'entrée de gamme, ou pour le Entero 4400 AMP (2969€ - prix constatés en août 2011), le haut de gamme.

Où acheter du matériel Bose ?

Il n'existe pas de boutiques dédiées uniquement aux produits Bose, mais tout bon magasin de hi-fi qui se respecte propose la marque dans son catalogue.

L'idéal pour trouver un point de vente est d'aller directement sur le site de Bose France (Bose.fr), et de chercher un magasin selon ses besoins, mais surtout sa localisation. L'outil présent sur la page "Trouver un revendeur" est bien fait et vous permet d'accéder rapidement aux informations essentielles.

Si vous souhaitez acheter en ligne, la marque propose ce service. Vous pouvez également effectuer vos commandes par téléphone.

Nous allons vous présenter un bon revendeur en ligne, proposant un large choix de modèles, pour ceux qui connaissent l'environnement Bose. Il s'agit de Audiosono.com, qui propose un rayon dédié à la marque.

Sono Bose L1
Partager cet article
Repost0
2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 08:09

Status Quo est un groupe anglais, apparu dans les années 1960, mais il est encore actif. Les différentes périodes du groupe ont été marquées par des changements de style, parfois fortes, au fur et à mesure de l'évolution des musiciens qui composaient Status Quo. Retour sur le parcours musical d'un groupe historique, au succès fort et pérenne.

Les années 60 : des débuts au succès modeste

Le groupe voit le jour du côté de Londres, grâce à trois lycéens, Alan Lancaster, Francis Rossi et Alan Key. Deux autres musiciens les rejoignent (Jess Jaworski - claviers, John Coghlan à la batterie) et le groupe cherche son nom. Il devient réellement Status Quo à la fin de 1967, après quelques échecs commerciaux, malgré un contrat avec une maison de disques.

Son premier succès s'appelle "Pictures of Matchstick Men", paru en 1968, suivi de "Ice in the Sun". Tous deux se glissent dans le top 10 de l'époque grâce à un style psychédélique, mais le groupe perd son contrat avec son label en 1969, suite à de mauvaises ventes.

Les années 70 : du changement qui mène au succès

À la fin de l'année 1969, le groupe décide de changer de style. Du rock psychédélique, le groupe s'oriente désormais vers un boogie-rock très enlevé, ce qui ne fait pas plaisir à certains membres du groupe, qui quittent le navire. En faisant beaucoup de concerts en Angleterre, Status Quo se constitue une base de fans fidèles.

Le premier gros succès arrive en décembre 1972, avec l'album "Piledriver", qui lance réellement la carrière du groupe. Les disques s'enchaînent et les succès avec : ils connaissent un titre numéro 1 avec "Down Down" et les albums "On the Level" (1975) et "Blue For You" (1976) ont un beau classement dans le top albums anglais. Même en France et aux États-Unis, le groupe perce et devient une référence.

Les années 80 : moins de création, toujours du succès

Le groupe est fatigué et les problèmes personnels s'additionnent. La situation est difficilement tenable et des changements de membres se produisent à répétition.

La tournée de 1984 pour "Back Too Back", appelée "End of the Road" (fin de la route) doit marquer la fin pour le groupe, mais Bob Geldof les convainc de jouer pour le Live Aid en 1985.

Le groupe continue d'exister avec d'autres musiciens, qui enregistrent une reprise, "In the Army Now", un succès foudroyant dans toute l'Europe, qui lui a même valu une reprise française (par la troupe des Enfoirés).

Malgré l'âge des musiciens, leurs problèmes de santé, le groupe continue de tourner, de séduire des spectateurs. Status Quo se fait désormais rare et aucun album n'est prévu pour ce groupe à la longévité exemplaire.

Rossi - Bown - Quo
Partager cet article
Repost0
1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 12:42

AKG est une marque bien connue des amateurs de son de qualité pour leurs lecteurs mp3 ou l'écoute à domicile sur une chaîne hifi. Mais le fabricant, qui a ses origines en Autriche, propose également d'autres excellents produits pour le son, comme des micros de grande qualité, et propose de nombreux services qui en font un incontournable pour les amateurs de hifi.

Les écouteurs

La gamme du fabricant autrichien est fournie en écouteurs de type classique, comme on peut en trouver avec des baladeurs classiques. Les modèles peu chers sont de bonne qualité, comme les AKG 317, les AKG 319 ou encore les AKG 312P.

Bien finis, ils fournissent un son de qualité, qui va en s'améliorant selon le prix. Pour s'y retrouver, c'est simple, les numéros des modèles vont en croissant et prix et qualité vont de pair.

Dans le domaine des casques d'écoute, les AKG 450 et AKG 430 sont de bons modèles au son équilibré et au confort réel.

Les micros AKG

C'est dans le domaine des micros que AKG a acquis ses lettres de noblesse. Le modèle AKG C414 est à ce titre une référence. Dans cette gamme de prix (le micro est trouvable entre 800€ et 1000€), c'est un très bon investissement.

Aussi à l'aise pour les prises d'enregistrement voix et instruments, sa polyvalence constitue son principal atout. Il nécessite juste de respecter certaines conditions, surtout quand il est utilisé pour les voix ou en home studio.

Dans un domaine encore plus exigeant, il existe le AKG C12VR, micro statique qui succède au AKG C12.

On est dans une gamme supérieur, avec un tarif de plus de 3500€ (prix constatés en septembre 2011), mais le large diaphragme et donc le son presque parfait qui est restitué en font une référence, y compris pour la guitare classique ou les instruments à cordes.

Services et qualité de fabrication

La qualité des produits du fabricant autrichien est très souvent au rendez-vous. Mais dans une utilisation quotidienne ou même professionnelle, des pannes peuvent arriver, mais elles demeurent rares. Les produits sont en général très bien finis et solides.

Le fabricant offre une garantie de deux ans sur ses produits. Le contact se fait via un formulaire sur le site Internet Akg.com.

Il existe aussi une centrale technique en France, où vous pouvez ramener votre matériel défectueux et où il sera pris en charge par des techniciens de la marque.

AKG K601 / 20080225.10D.48447 / SMLAKG C414
Partager cet article
Repost0
1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 09:35

Doctor Flake est un musicien français. Le début de ce projet remonte à plus d'une dizaine d'années et depuis ce temps, il est l'un des meilleurs représentants hexagonaux du style, quelque part entre hip-hop, trip-hop et musique électronique. Sa carrière est déjà riche de trois disques et le quatrième est imminent : retour sur le parcours du docteur Flake.

Les débuts

Avant de lancer le projet Doctor Flake, le producteur et musicien français (Jean-Marie Léger, de son vrai nom) se produit en tant que DJ amateur durant les années 1995-1996.

Il était alors influencé par les débuts de la chillwave, avec quelques représentants notoires et influences du musicien, tels que Massive Attack, DJ Shadow ou encore Portishead.

Passionné de technique, il décide de se lancer et de créer sa propre musique quelques années plus tard.

De par sa culture hip-hop, il s'intéresse plus particulièrement aux boucles de sons, qu'il n'hésite pas à isoler et à intégrer dans une œuvre personnelle.

La maîtrise des logiciels informatiques nécessaires à l'exercice lui prend plusieurs années, entre 1999 et 2003.

Il sort enfin son premier album autoproduit "Intervention chirursicale" en 2006.

Un style à la fois technique et mélodique

Sa musique, qui se définit même comme "chirurgien sonore", est composée de boucles et de rythmiques empruntées aux styles hip-hop et électronique.

Les mélodies sont toujours présentes et les atmosphères qui se dégagent des morceaux oscillent entre une certaine forme de noirceur et une langueur qui se fait sentir.

Le style s'affine au fur et à mesure que le musicien progresse dans son propos. "Paradis Dirtyficiels" sort en 2007, plus sombre que le précédent, avant "Minder Surprises" en 2009.

Sur celui-ci, Doctor Flake fait appel à d'autres musiciens pour la première fois : Vale Poher et Miscellaneous entre autres au projet et se produisent sur scène avec lui.

L'avenir de Doctor Flake

Intitulé "Flake Up", l'album arrive un an après une belle année pour le musicien, qui a pu se produire dans de grands festivals.

Assez hip-hop, mais toujours avec de beaux moments calmes, "Flake Up" a de quoi séduire les fidèles admirateurs du musicien, comme ceux qui ne connaissent pas son travail. Le premier single issu de l'album s'appelle "Swell Line".

Platine vinyledance
Partager cet article
Repost0
30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 16:23

Le site CD and LP (cdandlp.com) est une véritable mine d'or pour les amateurs de disques, que ceux-ci soient des vinyles ou des cd. Neuf ou occasion, les disquaires et amateurs éclairés plébiscitent le site et en ont ainsi fait une référence dans le domaine. Du plus rare au plus connu des disques, vous trouverez sur Cdandlp.com : petit tour d'horizon.

Présentation du site

Le site CD and LP est un "marketPlace", un site Internet organisé comme une place de marché en quelque sorte, où les disquaires des horizons les plus variés mettent en vente leurs plus belles pièces.

Cdandlp.com s'est rapidement ouvert à l'étranger. On peut en effet avoir accès au catalogue de disquaires du Japon, des Etats-Unis, d'Angleterre ou d'Allemagne.

Le site (d'origine française, du côté de Saint-Etienne) a désormais atteint plusieurs millions de pièces dans ses rayons virtuels, remplis de disques neufs ou d'occasion.

En 2011, le site a connu une refonte de son aspect graphique, qui a remis au goût du jour la présentation des produits offerts aux clients.

Un catalogue d'une richesse inépuisable

Ce qui a fait la renommée de Cd and LP, est en fait, une plateforme incontournable pour les amateurs éclairés de musique, c'est la richesse de son catalogue. L'immense variété des disquaires qui mettent en vente garantie un très large choix, qui peut satisfaire tout collectionneur, même pointu.

S'il est possible d'acheter des CD, c'est surtout dans le vinyle que le site a gagné ses lettres de noblesse. Des tirages rares, des 45 tours, comme des albums en pressage très limité, il y en a pléthore sur la plateforme.

Ceux qui recherchent des pièces uniques pour terminer une collection d'un artiste peuvent trouver des disques du Japon ou d'Espagne en quelques clics.

Dans la vente de CD, le site permet d'acheter certains pressages d'origine réservés à la presse ou aux radios. Et bien entendu, du neuf et de l'occasion classiques sont présents et disponibles pour les amateurs.

Classées par genre, les œuvres présentes sont facilement accessibles et l'état des disques est toujours précisé, afin que le consommateur (parfois pointilleux) sache avec précision ce qu'il va recevoir.

Enfin, le site offre aussi un espace de vente/achat pour tout ce qui porte sur la musique, mais n'est pas un disque. Cela va donc des revues (parfois extrêmement rares) aux accessoires pour entretenir son matériel d'écoute ou encore des produits dérivés.

Vinyl recordQueen Remaster 2011
Partager cet article
Repost0
29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 14:30

Le badge revient à la mode ! Loin d'être ringard, cet accessoire apparaît à nouveau sur les sacs et les vêtements des amateurs, non seulement de musique, mais aussi de ceux qui cherchent à se distinguer avec une touche d'originalité. Le badge se porte en toutes occasions, et il en existe donc pour tous les goûts : petit tour d'horizon.

Les badges rock : magasins spécialisés en pointe

Les badges font partie de l'attirail de l'amateur de musique, que ce soit à l'occasion d'un festival, d'un concert ou de la vie de tous les jours. Il est une façon d'affirmer son soutien à un groupe, un label, une structure, mais peut aussi constituer un élément de look.

L'achat de badges est souvent possible auprès des boutiques spécialisées dans les t-shirts et autres accessoires rock. L'un des plus grands sites en France dans ce domaine est Goeland.fr (voir ici : Goeland.fr/). Vous y trouverez des badges engagés, plus ludiques, mais surtout rock. Ils sont à l'effigie de groupes, célèbres ou moins (Nightwish, Nirvana ou encore AC/DC), ou encore reprennent les symboles associés au rock.

Vous pouvez aussi vous tourner vers d'autres magasins en ligne, comme Customize.fr (vous pourrez même faire les vôtres) Topbadges.fr, vous tourner vers le site de la FNAC (qui commence à en vendre) ou encore essayer le site anglais Badgeplanet.co.uk, très complet.

Sinon, les disquaires, indépendantes ou grosses chaînes, peuvent avoir un petit stock de badges rock.

L'achat direct auprès des groupes et labels

Les boutiques de badges ne peuvent tout avoir en stock. Si votre groupe favori n'a pas de badges présents en rayon, n'hésitez pas aller voir directement sur leur boutique en ligne, ou sur celle de leur label qui distribue leur musique.

Les badges sont en effet un moyen simple de faire connaître sa musique, et les groupes rivalisent d'ingéniosité et d'audace pour faire de ces petits accessoires un moyen de promotion. Souvent abordables pour le supporter du groupe, on peut parfois les trouver pour moi d'un euro, ce qui en fait un petit soutien qui coûte pas cher.

Et si les groupes ne possèdent pas de boutique en ligne, n'hésitez pas, à l'occasion d'un concert, à vous diriger vers le stand de produits dérivés. Les musiciens sont souvent présents pour vendre leurs produits, et les badges font souvent partie des accessoires les plus populaires. Qui peut encore dire que rock et badges ne vont pas ensemble ?

Rock Concert Badges 70`s & 80`s
Partager cet article
Repost0